Comment se démarquer ?

Ça ne suffit pas d’avoir :

• Les meilleurs paroles, prods et compositions

• Le guitariste le plus rapide de la terre

• Une présence scénique incroyable

• …

À vrai dire ce n’est pas ça qui va t’aider à vivre de ta musique.

Tu as un doute ?

Regarde les compos des artistes qui marchent le plus, le rapport entre les couv’ de Guitar Part et les dates trouvées, le show spectaculaire de certains artistes qui sont à peine intermittents…

Comme je disais dans un précédent mail, passé un certain niveau d’expertise, ça ne sert à rien d’aller grappiller les quelques % restants pour devenir le plus expert dans ta catégorie.

La différence est ailleurs.

Sortons un peu de l’industrie musicale pour prendre un joueur de tennis.

Si tu es dans le top 300, tu sais taper la balle, servir, faire une bonne volée.

Pour gagner des tournois et des places au classement, d’autres skills que le tennis sont à travailler. Par exemple, la préparation mentale et physique, la nutrition, la stratégie ou encore la gestion du stress.

De la même manière, les artistes qui sortent du lot ne sont pas toujours les plus experts en musique !

Tu peux te plaindre de cette situation injuste.

Ou reconnaître que ça fait longtemps que ça dure et en tirer les conséquences.

Travailler les compétences annexes pour faire sortir TA musique du lot.

Les compétences business

Que l’artiste que tu trouve sur-évalué s’appelle JUL, Louane, Orelsan, Laurie, Daft Punk, Shaka Ponk ou Indochine n’a aucune importance.

Ce qui compte c’est qu’ils ont choisi d’être accompagné par des gens qui ont développés leurs compétences business.

Ils ont misé sur ce qui est à côté du purement musical.

Ces compétences business se rangent en trois grosses catégories :

• la communication : réseaux sociaux, networking, relances,…

• le marketing : présentation, négociation, crédibilité, …

• l’organisation : gestion du temps, pilotage projet, objectifs, …

C’est là que se fait la différence 😮

Séquence émotions

Ça m’a mis du temps pour accepter que c’est là que se fait la différence.

Après l’école de commerce, j’ai fait un master de production musicale dans l’ancienne maison de la radio de Berlin Est. La Funkhaus ❤️

Je connais la différence entre un compresseur FET, Opto, VCA,… Pourquoi plutôt utiliser un microphone à ruban pour enregistrer mon saxo… Quel type d’ambiance cela crée quand tu utilise une plate reverb…

Parce que j’ai cru que c’était ce genre de skills qui feraient la différence.

Mais on voit que ce n’est pas principalement grâce à ça…

J’ai été très aigri pendant un moment. Je me suis bien auto-détruit.

Puis je me suis rendu compte de mon choix. 🤯

Je pouvais persister dans ma frustration, ou faire un compromis :

Développer mes compétences business, acquérir des compétences en coaching et en santé mentale pour aller mieux moi-même, et tout mettre au service des artistes pour les aider à tirer leur épingle du jeu.

Ton choix

Toi aussi tu as le choix.

Tu peux faire le/la puriste, ne te préccuper que de ta musique et critiquer les artistes moins doués qui ont développé leurs compétences buisness et vivent mieux de leur art que toi.

Ou :

Faire de ces 3 compétences business (communication, organisation, marketing) une priorité en 2024 et développer ton projet.

Tu peux les développer dans de nombreux endroits dans lesquels tu as accès aux mêmes connaissances que tous les autres participants (CNV, IRMA, Conférences au MaMA, aux BIS,…).

Une grande quantité d’information est déjà disponible gratuitement, que ce soit par le biais de formations ou du net. Ce n’est pas ce qui manque le plus.

Je donnerais des liens et plus de détails sur ce que j’ai pensé de ces formations dans un prochaine envoi. L’accès à l’information ne devrais jamais être un problème.

C’est peut-être une réflexion d’école de commerce, mais dans le marché hyper-concurrentiel de la musique, je me dis que c’est compliqué de sortir du lot en faisant comme tout le monde.

Ce qui manque souvent, c’est un plan qui organise les données, les informations, les motivations, les ressources et les compétences propres à chaque artiste. Et qui les organisent de manière à atteindre leurs objectifs.

Ce n’est pas une question de savoir, ni de savoir-faire ou de savoir-être.

C’est du savoir-faire-faire : savoir comment faire agir la personne de manière répétée pour qu’elle atteigne et dépasse ses objectifs.

On peut atteindre les trois premiers stades de cette image, voir le quatrième, quasiment tout seul. Avec de l’information gratuite et de bonnes rencontres.

Ça permet de faire un bout de chemin, mais pour ne pas se retrouver en panne sèche en pleine route, les deniers stades sont essentiel :

• avoir un plan, pensé pour

• que tu le mette en application sur le long-terme

• et que tu récoltes les résultats de tes actions répétées

Pour développer ce plan et le mettre en apllication c’est bien d’avoir le soutien d’une structure ou d’une personne :

• qui se consacre à ça depuis des années

• qui te mets à l’aise pour parler

• qui a eu des résultats

• experimenté·e

• accessible

Le but à poursuivre, quel que soit la solution choisie ? C’est de développer un plan sur-mesure à partir de tes objectifs et de tes ressources.

Sous le sapin

Sensible à l’esprit de Noël je veux te permettre d’offrir une session à l’unité à toi-même où à un·e autre artiste (cadeau 100% original et sur-mesure 🎉).

Mes prix étaient de 650€ pour 9h de coaching (soit un peu plus de 70€/h).

Mais pour Noël, tu peux offrir une session de + d’une heure pour 50€ 😀 

Tu veux profiter de la réduction sans choisir de date :

Si tu connais déà le créneau (tu pourra le changer 48h à l’avance) :

Un sacré coup de boost pour ta carrière ou celle d’un·e artiste que tu connais et qui mérite plus de succès.

Voici un montage des musicen·nes et groupes avec qui j’ai travaillé :

Je t’invite à répondre à ce mail si tu as des questions ou réactions que tu aimerais partager.

D’ici le prochain envoi,

Prends bien soin de toi !

Ludo